[ Refrain ] Nous on veut continuer à danser encoreVoir nos pensées enlacer nos corpsPasser nos vies sur une grille d’accordsOh, non non non non non nonNous on veut continuer à danser encoreVoir nos pensées enlacer nos corpsPasser nos vies sur une grille d’accords--- --- --- --- --- --- ---[ Refrain ]Nous sommes des oiseaux de passageJamais dociles ni vraiment sagesNous ne faisons pas allégeanceÀ l’aube en toutes circonstancesNous venons briser le silenceEt quand le soir à la téléMonsieur le bon roi a parléVenu annoncer la sentenceNous faisons preuve d’irrévérenceMais toujours avec élégance[ Refrain ]Auto-métro-boulot-consoAuto attestation qu’on signeAbsurdité sur ordonnanceEt malheur à celui qui penseEt malheur à celui qui danseChaque mesure autoritaireChaque relent sécuritaireVoit s’envoler notre confianceIls font preuve de tant d’insistancePour confiner notre conscience[ Refrain ]Ne soyons pas impressionnablesPar tous ces gens déraisonnablesVendeurs de peur en abondanceAngoissants, jusqu’à l’indécenceSachons les tenir à distancePour notre santé mentaleSociale et environnementaleNos sourires, notre intelligenceNe soyons pas sans résistanceLes instruments de leur démence[ Refrain ]
[...]nous ne faisons pas allégeance.À l’aube, en toutes circonstances,nous venons briser le silence.[...]
I could not release the inspiration'Til you ask me tooCame at your body relentlessly throughout the yearOr to far away to near to nearly show this honey moonI was a stranger too familiar and not enoughBut I once sawThe touch of your velvet hand upon my faceI recall, velvet gloves and spitting your embraceAnd I wanted nothing elseThe haunted hotel room, the two bed, man, childI could not simply fall asleep next to you everynightA castle insane built too high, too soonAnd under waving palms and waving sails and wavesGoodbyeBut I once sawThe touch of your velvet hand upon my faceI recall, velvet gloves and spit and your embraceOh, I once saw the touch of your velvet hand upon my faceAnd I recall velvet gloves and spit and your embraceAnd I wanted nothing else